Une température idéal

Une température idéal
le paradis sur terre

mardi 24 mai 2011

De SanCristobal, Chiapas, Mexico a Qetsaltenango Guatemal nord ouest

Le 10 mars 2011

Me voici depuis le 1er mars a San Cristobal de las Casas au Chiapas, Mexique, près du Guatemala, ville vivante avec son centre historique datant de 1546. Cette ville ou je ressens en sentiment de joie et de plaisir de vivre. Cette ville culturelle et vivante avec tous ses habitants internationaux et locaux ou le coût de la vie est incroyablement abordable. Le $ est à 12.22 pesos. C'est aussi le monde des Mayas entourant la ville. Il y a aussi sa capital Tuxtla Gutierrez, a 45 minutes. Une ville très prospère.

Voilà, je loge à l'antenne de la Posada Abuelito, ( grand-père. Charmante auberge. Les propriétaires une mexicaine et un américain de père et grand-père maya mexicain Depuis deux ans ils ont aussi un commerce sur la rue commercial la Guadeloupe. kitsch & Bagel. Un café bar et boutique. A l'auberge je loge dans une chambre confortable, draps de bain, serviette, évier en coin en terre cuite, porte française, salle de bain, douche en céramique tous neuf, accès a la cuisine collective pour concocter ses repas, un petit salon avec foyer qui est aussi la réception, télé, film, jardin avec un puits rustique et Wifi inclus...... 15 jours 100$. ! Absolument incroyable. Reste à découvrir le quartier et ses commerces, Café terrasses, parc central et place d’armes.. . Déjà je connais le marcher central, les églises et les parcs, plus de douze quartiers dans cette ville de 90,000 habitants. Tant de possibilité a y demeurer, bien que le prix des aliments dans le centre historique soit plus élevé, il y a toujours des prix très bas dans les cartiers tout prêt.

Bien des étrangers y vivent. Des italiens, français, anglais, ayant commerce sur rue: et des québécois aussi bien sur. Déjà, j'ai rencontré deux québécois qui y vivent, ayant marié une mexicaine et ayant une auberge dans le cartier.

Artistes, musiciens, et autres infortunés viennent y trouver refuge pour quelques semaines voir quelques mois pendant la saison sèche. Et bien oui! Tout n'est pas parfait. La saison des pluies n'est pas des plus facile a ce qu'on dit. Il fait même assez froid en novembre, vu l'altitude a laquelle la ville est située. Mais il n'y a qu'a prendre un minibus et descendre vers la capital, a 45 minutes de Sancristobal et là, c'est la chaleur des tropiques.

Ce matin je suis assis au café terrasse, le Yik Café, situé sous l’arcade. Yik , qui veut dire, le meilleurs. Le trottoir en terrasse de dix pieds de large avec clôture en fer forgé, face au parc central de San Cristobal. Le soleil est présent et a dix heures du matin le temps est encore frais. Toujours les vendeuses mayas viennent nous solliciter avec leurs artisanats sous le bras et dans les mains.

Le parc est ensoleillé et le va et vient des gens est tard en ce dimanche matin de mars. J’écoute les échanges a la table voisine. Une américaine parle français avec deux autres. Elle a une maison et un terrain ici a la ville de San Cristobal.

Voila un café latté chaud, et je me décide à visiter le parc de la petite cathédrale situe sur la petite montagne, au centre de la ville, a quinze minutes d’ici. Je découvre que cette montagne ou colline est au centre de la ville elle est quatre fois plus petite que le mont royal.

16 mars
Un matin a la capital.

Bien ce matin là il fait froid a Sancristobal, Chiapas, Mexico. 14 degrés et je me suis dit, tiens je vais au capital, Tuxtla Gutiérrez. Je prends donc un mini bus neuf de 15 places a la station de bus, a 10 minutes de l'auberge. Un billet a 4$ et je pars pour la capital. Arrivé en 55 minute au centre ville près d'une immense Plazza de quatre cents pieds carré en marbre gris. Il fait 32 celcius. Cette ville est située dans une plaine a 1000 mètres plus bas. Waow! Je ne porte que mon t shirt il fait chaud et ensoleillé. Cette ville a.500, 000 de population.

Je suis bien aise de cette chaleurs, 32 C°. Je fais donc le tour de la Plazza central immense comme un champ de football et je me dirige vers le parc de Marimba. Un parc de style colonial avec en son centre un grand gazebo colonial, comme a Sancristobal ; aussi, de grands arbres et des bancs en fer forgé et tout autour, la rue est les cafés, restaurants et boutique.

Tien! On offre de visiter le fameux canyon situe à 15 minutes de la ville. Le départ est à une heure et il est midi. 20$, bon j'attends une heure et je bouffe un peut et je décide. Un tacos suisse, et un verre de lait de riz froid offert par le resto. Et je suis prêt pour la randonnée. Je paye mon passage.


Et c'est parti. On est 3 et oups.. On monte dans une vieille Chevrolet Malibu 1979 dépeint et ronronnent. Une minoune quoi! . My gâch !!! Je me dis, on va pas monter sur la montagne avec ça pour voir un canyon d' en haut pour vingt piastres?

Mais non! Le chauffeur est mécanicien de métier et travail a temps perdu pour ce service de transport touristique. Il adore les vieilles voitures et compte remettre cette voiture a neuf.

Pour la promenade : il nous sort de la ville, une ville de 500 milles habitants avec un seul gratte-ciel de 20 étages donc une ville très étendue ; après avoir traversée un grand pont au-dessus d'une large rivière, nous tournons à droit et descendons vers un embarcadère très vaste avec une grande plateforme en ciment avec grande marche entrant dans l'eau. Des dizaines de personne attendent pour embarquer dans l'une des embarcations ressemblants a ceux du lac Atitlan au Guatemala. Donc, un groupe de français est devant nous; il monte à bord d'un bateau. Dix embarcations de 25 et 35 places avec de puissant moteur de 115 a 200 CV. Me voila embarqué avec un groupe de gens du local et national et c'est parti pour 2hr et demis. Oui 2hr et demis. Incroyable.

Nous démarrons en lion sur cette immense rivière et a grande vitesse, en repassant cette fois-ci sous l'immense pont en arche, filant vers l'entrée des gorges de la rivière pour enfin arriver aux premières hautes falaises de roche de chaque cote de la rivière.

Premier arrêt près d'une colonie de vautours noirs du Mexique, approchant à près de dix pieds, des centaine de vautours sur la berge en pente, formé de pierre blanche, entrant dans l'eau. Quel beau contraste: puis en route vers le centre du Canyon.

Nous arrivons maintenant en face de la plus haute falaise de roche du canyon. Plus de mille mètres de haut vertical comme un i. Incroyable. Je me sens si minuscule au milieu de cette rivière entre la falaise géante de ce fameux Canyon.

Nous poursuivons, et le capitaine nous invite à regarder au loin a droit dans des arbres en bosquet près de la rive, rare bosquet formé sur les chutes de pierres et de terre, créant ici un lieu propice a la pousse de la végétation et des arbres. Il y a dans ces grands arbres, des petits singes, Mono, noir dont 2 avec leurs petits sur le dos, sautant de branche en branche, venant vers nous afin de nous observer tout en se nourrissent de fruit des arbres. Il sont à au moins 200 pieds au-dessus de nous, ils sont une vingtaine. Quel beau moment ?

Et en route vers le creux du canyon, glissant à toute vitesse sur cette rivière immense et profonde ou le vent provoque des vagues. On peu apercevoir des cormorans, hérons blanc et hérons gris. Nous arrivons près d’une sorte de cavité dans le mur du roche au une hauteur de soixante pieds, une sorte de grotte ou on y voie un genre d’autel dédié a la madone Guadeloupe, emblème et protectrice du Chiapas et de toute l'Amérique centrale, première sainte originaire de l'Amérique centrale. Fleur, statue, encens. Étrange ce lieu.

Nous poursuivons vers le Nord toujours a grande vitesse, tout le groupe de vingt-cinq est ravi avec notre ceinture de sauvetage. Nous arrivons à un lieu magique face à une paroi en une forme sculptée appelée l'arbre de Noël. Il s'agit d’une formation en pierre créé par l'infiltration d’eau donnant un aspect d’un arbre et ses branches ressemblant à un sapin gigantesque, pareil a des panaches d'orignal a l'envers, arrivant jusqu'à toucher l'eau. Cet arbre de roche est haut d'une dizaine d'étages. Et sur la pointe de cette sorte d’arbre une formation rocheuse donne l'impression d’une étoile. Quelle vision sublime rejoignant mes racines canadienne et québécoise ?

Ensuite, En route vers le réservoir d’eau qui arrive au barrage hydroélectrique qui alimente toute la région en électricité et en eau. Quelques ruines mayas et un voilier d’oiseau. Mais aussi un crocodile : oui le crocodile est l'emblème du canyon. Il y en a beaucoup semble t'il.

Après un ravitaillement en gazoline, nous voila repartis en sens inverse: Le retour vers l'embarcadère a toute vitesse, durant une heure, refaisant le trajet inverse. Quelle aventure ! Je ne m'attendais pas a cela. Bingo.

Il et quatre heures et je ne veux pas retourner à Sancristobal tout de suite, donc le conducteur de la Malibu me laisse à de pas de l'embarcadère pour prendre un taxi collectif pour me diriger vers Chiapas de Corso, une ville a cinq kilomètres vers l'Est. Une ville banlieue cette petite ville en son centre est superbe sont parc central est immense. Restauré sous la présidence de Vincente Fox qui fut aussi le gouverneur du Chiapas. Au centre du parc il y a la plus vieille construction du Chiapas. Un gazébo avec toit en brique construit en 1528. dans sa forme le toit représentant la couronne d’Espagne et l'église catholique sous Isabelle de Castille et Ferdinand d’Aragon, Rêne et roi d’Espagne. Près du parc une rue se dirige vers la rivière. Il y a des commerces de produit artisanal et des boutiques. Le tout est bien ordonné comparé à bien d’autre endroit. Je suite le village a bord d' un minibus qui m'emmène sur le bord de la grande autoroute ou la il y a un arrêt de bus pour aller vers Sancristobal de Las Casa. Je retourne à Sancristobal vers six heures a bord d’un mini bus a 15 places que j'ai signalé sur le bord de la route arrive à la station d’autobus le chauffeur ne m'a pas demandé de payer. Même je suis revenu en lui jetant un regard et là il n'a pas réagis alors je suis reparti et je me suis dit comme je reprends le bus demain. Je verrai.

lundi 11 avril 2011

San Pedro lac atitlan 11 avril

San Pedro,le 6 avril, vue sur le lac, de la fenêtre du studio, a la Villa Cuba.


Quelle belle trouvaille que ce petit studio-maisonnette totalement indépendant du bâtiment.  Je loge a l'antenne de la Villa Cuba tenu par un pur cubain noir comme le fond d' un chaudron avec sa femme guatémaltèque mais blanche.
Devant la baie vitrée il y a une terrasse avec table ronde tout en céramique  et  trois banc en ciment. Il y a un jardin de légumes d' un côté  et un jardin de fleurs en plateau descendent a trois cents pieds plus bas, atteignant la plage et le lac. La vue est imprenable avec la baie vitrée  faisant la moitier du studio.   Les planchers sont tous en céramique beige-crème  . Il y a deux marche pour arriver au niveau de la cuisine et de la chambre. Le mur autour du lit et en pierre. Les fenêtres  de la baie vitrée sont en  en bois. Toute les fenêtres s'ouvre, avec moustiquaire. Même la porte d' entrée en a un. Un évier , un poêle au gaz sur le  comptoir en céramique blanche en L et un petit frigo .  Le lit a double matelas confortable . Une étagère en métal a trois niveau sur roulette. Ils mon offert une télé car il y a le câble. Elle est installé sur l'étagère. Une chambre de bain avec  lavabo, toilette et douche,avec eau chaude. J'ai installé le iPad sur la petite table en bois vernis collée sur la baie vitrée.C'est la que je vais écrire un peu ces prochains jours. 

La villa est situe a moins d'un kilomètre du centre de San Pablo. Au pied du volcan . En fait,l'hôtel, comme tout les autres maisons autour,  est a flan de montagne du volcan puisque la base du volcan va directement dans le lac. Un volcan éteint bien sur. Ce qui veut dire que je suis a bonne hauteur pour voir le lac et tout les villages et les montagnes en face de l'autre côté de la baie de San Juan.  Le jardin d'ognion en étage tout a coté de l'hôtel. 


   Six heure du matin J'ai bien dormi.  Le soleil est fort. Ce sera une chaude journée. Je suis allé marcher le long de la plage. Les travailleurs arrosent les plateaux de légumes en tirant l'eau du lac avec un générateur a gazoline. Un bon moteur et un boyau de trois pouces de diamètre. Il y a tout le long de la rive des dizaines de jardin en terrasse. Ils cultivent ici surtout l'oignon mais aussi le choux et le radis.

Avec la petite maisonnette, Je crois avoir trouvé l'endroit pour le reste du temps, ici, avant le retour au Québec. Un lieu en retrait. Je prendrai ce temps pour faire un bilan en quelque sorte sans rien m'imposer. Et puis aussi comme une préparation après six mois en voyage.

Le lendemain. 

Me voila a San Marcos pour l'après midi . J'ai récupérer les tapis de paille et autre choses que je revend sur la place central. J'ai déjà  vendu le gicleur et la machette. Et quelqu'un est intéresse au tapis alors tout vas bien et puis je suis content de voir Herman  au magasin central, et puis lui aussi. Bon les enfants viennent d' arriver. Je les connais. Ils sont gentils et ils passent la journée dans le village et retourne a la maison tard le soir.  Je leurs est donne un biscuit sec. C'est ce qu'il m'ont demandé. 

Le vent c'est levé et le soleil est toujours de la parti  j'ai bu une bière il est 14 hr 51. Je dois décider ce que je fait maintenant. J'ai tout ce qu'il me faut dans mon sac a dos pour faire la cuisine ce soir a la maison. Je par en direction du quai de San Marcos. Je sui le trottoir et essais de vendre les tapis ainsi que les deux petit tapis de bain. 

En fait Pascal, du centre de massage Vitalis,  a acheté les deux petit tapis. Puis je part  prendre le bateau pour San Pedro . Suner l'allemand est a bord avec tout ses bagages. En parlent et me dit qu'il vas vivre a San Pedro et ouvrir un commerce a la place du bar, Le Freedom, qui a fermé. Je lui propose mes tapis, il les prends tout de suite pour le commerce. J'ai donc tout vendu. Je suis allé prendre un café au Cristallinas avec Luis le propriétaire de la brulerie, et nous avons projeté de lui crée un site internet pour son commerce. Nous avons regarder le site de l'Auberge du Marchand a Maria et le site de la Villa Cuba ou j'habite. Un spécialise vas venir le rencontrer. Ce spécialiste je l'ai rencontré a San Marcos hier, tout en blanc et très sympathie. Je lui est suggéré de passer au Café Cristalinas  a San Pedro et rencontrer Luis le propriétaire.

Il est 7.43 ce matin du 8 avril  je viens de descendre vers le lac et j'ai rencontré une anglaise d' un certain âge avec un accent délicieux.  Elle loue le studio en haut de la Villa Cuba. Elle danseuse contemporaine. Elle a pris son bain dans le lac. Je compte bien le faire aussi.  Encore une fois de ma fenêtre  la vue sur le lac est superbe. J'écoute Diana Crawl.

ce matin je me fait a déjeuné. Et c'est fait. Je peut continuer a écrire.

Dimanche 10 avril 17.30

  Je viens de vivre une forte expérience il y a 30 minutes. Je revenais vers mon hôtel par la plage. Tout le long il y a  plein de guatémaltèque Maya, en se dimanche. Ils se baigne et  font la lessive direct dans l'eau. J'arrive alors  a côté d' une décente  en pierre loin des gens de la plage. Une décente   de trois marche qui vas a l'eau. Je vis un corps inerte face contre terre dans l'eau a 2 pieds du rivage en bas des marches. Le jeune homme est là, mort noyer. Un homme est avec moi très perturbé par la vue du corps inerte. C'est lui qu'il l' a vue le premier. Nous voyons bien qu'il y a au moins un bon moment qu'il est mort. Quoi faire. L'homme avec moi a un cellulaire. Je lui suggère d' appeler la police immédiatement. Il dit qu'il n'a pas de temps d'appel. Je lui dit qu'il peut faire le123 gratuitement. Je suis certain que l'homme dans l'eau en costume de bain c'est heurté a une pierre et c'est évanoui et est mort noyer. Aurais 'je pu l'aider en le sortant de l'eau et lui faire la respiration artificiel? 

Il semblais trop tard et je n'avais aucune réaction, et je voulais absolument contacter la police, si elle pouvais venir rapidement. Mais ici est ce la police ou l'ambulance ou je ne sais qui.  L'accident c'est produit  a cinq minutes de la route près de dizaine de gens le long de la plage qui n'ont eu aucune connaissance de se drame. Un petit mur en pierre et une descente de trois marche empêchais de voir le corps du jeune homme. Je suis rapidement  partis avec l'homme au cellulaire vers des hommes qui se reposais en haut prêt d' un jardin de légume tendissent que d' autre personne arriver près du lieu de l'incident. Personne ne sais quoi faire. Je suis le seul étranger sur place. Nous réussissons a rejoindre la police et les hommes plus haut arrivent. Un des hommes reconnait l'homme qu'il avais vu se dévêtir sur la plage et allé a l'eau il y a environ vingts minute selon lui. Il était émotif et triste de ne pas l'avoir remarqué avant. Personne ne veut toucher au corps et je quitté  le lieu pour aller vers mon hôtel a quelque minute de la. Je parler au propriétaire de mon 'hôtel de se qui se passe sur la plage. Un moment plus tard je vois des gens arriver au loin et sortent le corps de l'eau. Je retourne rapidement sur le lieu de l'incident. Je vois bien que c'est la famille qui on sorti le corps de l'eau et pleurent a chaude larme tentant de le réanimer. Mes en vain, la mère ne pleure pas et l'essuie avec une serviette. Le frère prend le corps sur son dos  et toute la famille suis en pleurant.  La mère ne pleure pas.  De l'eau vaseuse sort de la bouche du corps. C'est un accident bête. Quel triste histoire.  

Ils habitent a deux pas d' ici. Et moi je quitté les  lieux et partagea l'histoire a une famille sur le bord de la plage près de la montée vers mon studio. Quant je leurs est dit que la famille avais emporté le corps, ils me fi comprendre que c'était mieux ainsi car cela couterais très chère a la famille, la police,l'investigation, l'ambulance etc. Quelle étrange organisation. Je retourne au studio et j'écris tout ça.
Plus tard en prenant une marche sur le chemin près du la villa Cuba  , je tenté de percevoir la famille endeuillé en vain. Je vis un curé en robe noir parlant a des gens.Il attend  un taxi. En me voyant il me tendis la main en me saluât. Je ne pu m'empêcher de lui parler de l'accident. Il ne savais rien de l'accident et demande au gens s' ils étaient au courant. Une femme lui donna l'information je crois. Le curé me remercia de l'informer et partis en taxi vers la ville. Je crois que le curé se devais de savoir ses informations. Probablement il pourra aider la famille a traverser cette dure épreuve. Quant a moi je retourne a mon studio. Voila pour cette histoire. 

Cette nuit il est minuit et je ne dors pas.  Je regrette de ne pas avoir eu de réaction face a la situation d' hier. Lorsque j'était devant l'homme gisant dans l'eau. J'aurais pu rapidement le sortir  de l'eau et tenter de le réanimer. Peut être que cela ne faisais que quelque minute que l'homme était inconscient. Je suis a pense que je ne suis pas centré ni dans pensée, parole, action. Passer a l'action rapidement sans penser. Rien d'autre que de passer a l'action pour la vie qui veut être. Je regrette. Mais je laisse passer. Je passe a autre chose. Il est trop tard maintenant. André tu est amour et lumière et tu apprendra a nouveau sur ta route d' éveil, sur ton chemin de lumière. Tu saurais agir différemment.